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PROCHAIN SEMINAIRE 3SG LE 8 JANVIER 2020 AU LASAG UGLC/S-C : « JE NE VOLE PAS, JE NE MENS PAS, JE COUPE ! »

Séminaire 3SG
Séminaire Sciences Sociales – Guinée
Chaque premier mercredi du mois de 10h à 12h
Alternativement au CIRD et au LASAG

Coordination : Dr. Ramadan Diallo, Abdou Ndao (CIRD), Dr Marie Yvonne Curtis (LASAG-MASDEL-UGLCS), Pr Moustapha Keïta Diop (LASAG-MASDEL-MASDEL-UGLCS), Pr Frédéric Le Marcis (IRD & CERFIG)

Mercredi 8 janvier 2020

10h à 12h

UGLS de Sonfonia

« Je ne vole pas, je ne mens pas, je coupe ! » Les paradoxes de l’enfermement de femmes pour cause d’excision au Burkina Faso.

 Frédéric Le Marcis, anthropologue

CERFIG – IRD

Discutant

Marie Yvonne Curtis (LASAG)

Au Burkina Faso en 2016, le taux d’incarcération des femmes est de 1.7%, pour une population carcérale de 7 670 détenus. Malgré leur faible poids démographique au sein de la population carcérale, les femmes font l’objet d’une attention spécifique de la part des travailleurs sociaux, des organisations confessionnelles, des ONG. Deux arguments principaux sont avancés par l’ensemble des acteurs du monde carcéral pour justifier ce traitement : le fait qu’elles soient souvent accompagnées d’enfants ainsi que leur condition de femme qui impose une hygiène stricte (menstruation).

Dans la société burkinabè, les femmes sont en effet pensées à la fois responsables de l’éducation des enfants et potentiellement polluantes ce qui justifient de meilleures conditions de détention. Ces deux arguments sont également avancés pour justifier la pratique de l’excision, pratique criminalisée depuis l’accession de l’ancienne colonie française à l’indépendance.

Dans cette communication, on discutera de ce paradoxe à partir d’une étude de cas consacrée à l’incarcération dans la Maison d’Arrêt et de Correction de Ziniaré d’une quinzaine de membres d’une même parentèle, tous accusés d’avoir organisé l’excision de deux jeunes filles de leur famille. La tension entre une incarcération légale (quoique peu pratiquée) et une pratique considérée juste parce qu’inscrit dans la coutume (l’excision) sera décrite via l’analyse des interprétations de l’incarcération recueillies auprès des multiples acteurs de la scène (détenus, agents pénitentiaires et acteurs de la justice). La peine apparaît comme une injustice, lecture renforcée par un contexte post-renversement de l’ancien président Blaise Compaoré conduisant les personnes originaires de la région de l’ancien président (Ziniaré) à comprendre leur interpellation comme une vengeance politique.

L’OUVRAGE « GUINEE : LES GRIMACES D’UNE INTELLIGENTSIA DIVISEE » SERA PRESENTE AU CIRD LE 21 DECEMBRE A 10 H

Notre collègue Amadou Lamarana Diallo, sociologue et démographie, par ailleurs chef du département recherche du CIRD, vient de publier (Publi-book) un livre intitulé : Guinée : les grimaces d’une intelligentsia divisée.

RESUME :

En 1958, la Guinée demande et obtient de la France coloniale, « la liberté dans la pauvreté ». Elle ne voulait pas de « l’opulence dans l’esclavage ». Elle est aussitôt confrontée aux réalités du monde : tout ce que ce « monde compte d’impérialisme s’abat sur elle ». Son État aura tout essayé sans succès remarquables : révolution, redressement, transition, changement. C’est la marche historique d’une contrée singulière traînée par une mondialisation impitoyable. Après la brutale rupture d’avec la France, l’intelligentsia nationale s’est-elle contentée de jouer le jeu autour des chefs suprêmes sans pouvoir traduire leurs visions en projets porteurs d’avenir ? Chefs et collaborateurs ont-ils réussi l’édification de systèmes de gestion favorables à la production cordonnée de résultats de développement ? Il reste à l’intelligentsia nationale de prendre conscience de cette marche chaotique et d’avoir l’ambition commune de relever le défi majeur du redressement. À quand surviendra ce sur-saut national ? L’expérience du passé et des hommes de ce pays donne une densité de plus en plus énorme à cette question et de plus en plus de sens à chacun des témoignages qui forment ce livre.

AUTEUR :

Né à Fello Bané, un village des massifs montagneux de Ninguélandé, Pita, préfecture du Fouta central en Guinée, Amadou Lamarana Diallo est sociologue et démographe. Enseignant-chercheur, il porte un grand intérêt aux débats politiques et publie régulièrement des articles de presse sur l’actualité de son pays. Dans ce livre, il a voulu présenter un condensé de témoignages sur les tâtonnements des élites guinéennes en matière de développement économique et social.

La séance de dédicace sera organisée au CIRD, sise Dadia Mosquée à Kipé, Commune de Ratoma le samedi 21 décembre 2019 à  10 heures. Entrée libre et gratuite.

LE SEMINAIRE SCIENCES SOCIALES GUINEE (3SG) LANCE UN APPEL A COMMUNICATION POUR SA JOURNEE D’ETUDE

 Appel à communication pour la journée d’étude des 3SG

Discussion de travaux d’étudiants

 Destinataires : étudiants de sciences sociales niveau master ou doctorat

Dans le cadre des activités du 3SG nous proposons d’organiser une discussion des travaux d’étudiants. Pour cela nous demandons aux étudiants souhaitant voir leurs travaux discutés de bien vouloir soumettre aux coordinateurs du 3SG un projet de communication (résumé). Les propositions seront évaluées collectivement et 7 d’entre-elles seront retenues pour la journée d’étude.

Les auteurs des présentations retenues seront alors invités à envoyer le texte de leur présentation (5 pages minimum – 10 pages maximum, police calibri, taille 12, interligne 1,5, marges normales) au plus tard une semaine avant la journée d’étude. Chaque texte sera étudié par un discutant avant la journée d’étude pour nourrir la discussion des travaux lors de leur présentation.

Date de limite d’envoi des résumés : 31 décembre 2019

Date de communication des résumés sélectionnés : 8 janvier 2020

Journée d’étude : dernière semaine de février 2020

Envoi des résumés :

abdou.ndao@cirdguinee.org; curtismarie3@gmail.com; ramadan.diallo@cirdguinee.org; moustaphadiop@uglcs.org; frederic.lemarcis@ird.fr

Format de la journée

Matin : 10h-12h

2 présentations de 20 min, 2 discussions de 20 min, 2 débats de 10 min avec la salle, une pause de 20 min (2 heures)

Après-midi : 13h-16h

3 présentations de 20 min, 3 discussions de 20 min, 3 débats de 10 min avec la salle, une pause de 20 min soit 170 min (2 heures trente).

Contenu du résumé

(Trois pages maximum +, police calibri, taille 12, interligne 1,5, marges normales)

Page 1 :

Nom, Prénom

Indiquer le diplôme préparé et le nombre d’année d’inscription dans le diplôme

Indiquer le nom du directeur du mémoire ou de la thèse

Titre du travail

Page 2

  • Question: en cinq à 10 lignes présentez la question que vous souhaitez traiter dans votre communication. Il peut s’agir de la question générale de votre projet ou d’un aspect de votre travail (un chapitre de thèse ou de master par exemple). 
  • Méthode: décrivez en 5 lignes à 10 lignes la méthode spécifique mise en place pour répondre à la question que vous posez. Il ne s’agit pas simplement de revendiquer « observation participante » ou « entretiens » mais d’expliquer vos choix méthodologiques en fonction de votre question.
  • Problématique : en 10 à 20 lignes présentez comme vous répondez à la question en discutant données de terrain et littérature et en présentant votre argument.

L’EQUIPE DE RECHERCHE CIRD-ISFAD EN SESSION DE TRAVAIL SUR LES TICE EN GUINEE

Autour du Pr Saliou Diallo, directeur de l’Institut Supérieur pour la Formation à Distance (ISFAD-Guinée), coordonnateur scientifique du projet les TICE en Guinée : usages pour de meilleures pratiques en Enseignement-Apprentissage et en Formation, l’équipe de recherche du consortium CIRD-ISFAD est en pleine phase de préparation des activités de terrain à travers la Guinée. Après l’étape de construction et de consolidation des outils de collectes. Composée de linguiste, anthropologue, statisticien-démographe, politiste et de gestionnaire, cette équipe a pour objectifs de documenter à partir d’outils qualitatifs, quantitatifs et de vérification de compétences les pratiques des TICE dans les établissements d’enseignement primaire et des collèges des régions de la république de Guinée. D’une durée d’un an, ce projet est financé par l’Agence Universitaire pour la Francophonie (AUF) dans le cadre du projet APPRENDRE qui a sélectionné notre Consortium parmi les 152 projets soumis à travers l’Afrique.

 

 

SEMINAIRE SCIENCES SOCIALES – GUINEE (3SG) INVESTIT LA COMPLEXITE DES EXPRESSIONS CULTURELLES

Ce mercredi 04 décembre, le CIRD a accueilli le troisième séminaire sciences sociales – Guinée (3SG) co-orgnaisé par le CIRD, l’IRD-CERFIG, le MASDEL et le LASAG laboratoires de recherches basés à l’Université Général Lansana Conté de Sonfonia – Conakry (UGLC -SC). En présence dune trentaine de chercheurs et d’étudiants en Master. M. Abdou Ndao, anthropologue et directeur exécutif du CIRD a présenté le thème intitulé : Identités culturelles en Guinée Bissau, en Gambie et au Sénégal : approches croisées et enseignements méthodologiques. Pr Moustapha Keïta Diop, doyen de la faculté des sciences sociales de l’UGLC-SC et responsable du Laboratoire LASAG/UGLC-SC était le discutant. 

Resumé de l’intervenant : Globalement, l’anthropologue Ndao s’est posé la question du Comment produire du SENS en combinant l’anthropologie, la photographie et le stylisme ? C’est le projet de trois spécialités pour saisir la complexité des identités culturelles au Sénégal, en Gambie et en Guinée Bissau. A travers un parcours initiatique le long des peuples tenda (sud-est du Sénégal) jusqu’aux confins des iles bijagos (Guinée Bissau) en passant par les ajamaat/floupès (Basse Casamance, Sud de la Gambie, Guinée Bissau), ce projet décrit la complexité des rites initiatiques et des fonctions sociales des fétiches, des systèmes de gouvernance locale et traditionnelle, des royautés encore vivaces…Il bat en brèche des préjugés et stéréotypes encore vivaces dans les imaginaires de peuples considérés comme minoritaires.

Pendant plus de 7 ans, trois chercheurs poursuivent leurs itinéraires pour mieux saisir du sens dans des contextes de collaboration assumée mais parfois d’hostilité dissimulée voire explicite. Les enseignements méthodologiques sont divers. Ils vont des négociations et renégociations permanentes que le terrain impose aux chercheurs. Le sacré et le profane restent encore des espaces délimités qu’il faut négocier au gré des humeurs ou principes des peuples. Face à l’inaccessibilité des espaces ou interstices ou grappes les chercheurs déploient des stratégies spécifiques qui sont-elles mêmes en permanents réajustements. Du coup l’anecdotique devient du sens car il permet de mesurer les décalages épistémologiques et épistémiques entre les chercheurs et les peuples. Enfin, ce projet déconstruit les espaces et les lieux qui se révèlent dans leur cohérence culturelle et cultuelle. Entre le Sénégal, la Guinée, et la Gambie se jouent des similitudes et des différences enrichissantes. Comment l’anthropologie, la photographie et le stylisme arrivent-ils à COMPARER ? Comment éviter les essentialismes ethno-photo-stylistiques qui caricaturent les complexités et expressions culturelles de ces peuples ? Sommes-nous méthodologiquement préparés à y faire face ? Quelles parties des mystères arrivons nous à percer ?

A la suite de M. Ndao, plusieurs questions ont porté sur des enjeux méthodologiques et épistémologiques relatifs à la notion d’essentialisme anthropologique, le statut de cartes postales et les visées présumées de la neutralité des photos et du photographe, le rôle du stylisme dans la cohérence globale du projet, la distanciation critique par rapport aux objets épistémiques et les postures épistémologiques des chercheurs, les limites des espaces et des territorialités, la pertinence de cette approche anthropologique comparativement à l’anthropologie classique, les configurations, reconfigurations des rites initiatiques, les négociations et renégociations permanentes qui s’imposent aux chercheurs pour s’adapter aux espaces fermés, les cohabitations entre les systèmes de chefferie traditionnelles et les Etats, les marqueurs identitaires qui définissent les expressions culturelles et les limites de leurs interprétations factuelles.

Le 8 janvier 2020, Pr Frederic Le Marcis de l’IRD-CERFIG sera la quatrième intervenant et présentera un thème sur la criminalisation de l’excision au Burkina. Ce sera au LASAG à l’UGLS-SC de 10 heures à 12 heures GMT. 

L’UNIVERSITE MERCURE DE CONAKRY REND VISITE AU CIRD

Ce mercredi 04 décembre 2019, la direction exécutive du CIRD a reçu à sa demande le Vice-président de l’Université Mercure accompagné du responsable qualité. Une occasion pour présenter nos deux institutions et envisager des collaborations institutionnelles et scientifiques.

INSCRIPTION EN MASSE DES ETUDIANTS AU CENTRE DE DOCUMENTATION

En marge du Séminaire Sciences Sociales – Guinée (3SG) de ce 04 décembre 2019 co-organisé par le CIRD-L’IRD/CERFIG – MASDEL et LASAG de l’Université Général Lansana Conté de Sonfonia – Conakry (UGLC-SC), notre Centre de documentation a enregistré des inscriptions records. Une vingtaine d’étudiants et professionnels se sont inscrits dans notre base de données. Notre Centre dispose à ce jour de plus de 4000 ouvrages sans compter des fonds archivistiques et documentaires très divers.  L’inscription y est gratuite. Il est ouvert du lundi au samedi de 9h à 16 heures GMT. Pour s’inscrire, il faut se munir de deux photos d’identités. Le Centre est ouvert aux chercheurs, étudiants, élèves, professionnels ou lecteurs divers. Soyez les bienvenues !!!

SEMINAIRE SCIENCES SOCIALES – GUINEE (3SG). RDV LE 4 DECEMBRE PROCHAIN AU CIRD

Séminaire 3SG
Séminaire Sciences Sociales – Guinée
Chaque premier mercredi du mois de 10h à 12h
Alternativement au CIRD et au LASAG

Coordination : Dr. Ramadan Diallo, Abdou Ndao (CIRD), Dr Marie Yvonne Curtis (LASAG-MASDEL-UGLCS), Pr Moustapha Keïta Diop (LASAG-MASDEL-MASDEL-UGLCS), Pr Frédéric Le Marcis (IRD & CERFIG)

RAPPEL

Mercredi 4 décembre 2019
10h à 12h
CIRD

Identités culturelles en Guinée Bissau, en Gambie et au Sénégal : approches croisées et enseignements méthodologiques

Abdou Ndao, anthropologue
Directeur exécutif du CIRD

Discutant
Moustapha Keïta Diop (LASAG)

Comment produire du SENS en combinant l’anthropologie, la photographie et le stylisme ? C’est le projet de trois spécialités pour saisir la complexité des identités culturelles au Sénégal, en Gambie et en Guinée Bissau. A travers un parcours initiatique le long des peuples tenda (sud-est du Sénégal) jusqu’aux confins des iles bijagos (Guinée Bissau) en passant par les ajamaat/floupès (Basse Casamance, Sud de la Gambie, Guinée Bissau), ce projet décrit la complexité des rites initiatiques et des fonctions sociales des fétiches, des systèmes de gouvernance locale et traditionnelle, des royautés encore vivaces…Il bat en brèche des préjugés et stéréotypes encore vivaces dans les imaginaires de peuples considérés comme minoritaires.

Pendant plus de 7 ans, trois chercheurs poursuivent leurs itinéraires pour mieux saisir du sens dans des contextes de collaboration assumée mais parfois d’hostilité dissimulée voire explicite. Les enseignements méthodologiques sont divers. Ils vont des négociations et renégociations permanentes que le terrain impose aux chercheurs. Le sacré et le profane restent encore des espaces délimités qu’il faut négocier au gré des humeurs ou principes des peuples. Face à l’inaccessibilité des espaces ou interstices ou grappes les chercheurs déploient des stratégies spécifiques qui sont-elles mêmes en permanents réajustements. Du coup l’anecdotique devient du sens car il permet de mesurer les décalages épistémologiques et épistémiques entre les chercheurs et les peuples. Enfin, ce projet déconstruit les espaces et les lieux qui se révèlent dans leur cohérence culturelle et cultuelle. Entre le Sénégal, la Guinée, et la Gambie se jouent des similitudes et des différences enrichissantes.

Comment l’anthropologie, la photographie et le stylisme arrivent-ils à COMPARER ? Comment éviter les essentialismes ethno-photo-stylistiques qui caricaturent les complexités et expressions culturelles de ces peuples ? Sommes-nous méthodologiquement préparés à y faire face ? Quelles parties des mystères arrivons nous à percer ?

Le communiquant invite l’auditoire à visiter le site http://www.ndukur.com où il pourra consulter ses travaux.

FIN DU SEMINAIRE METHODOLOGIQUE SUR L’ANALYSE QUALITATIVE APPLIQUEE A L’INFORMATIQUE

Du 25 au 29 novembre, le CIRD en partenariat avec l’Ecole Doctorale Sciences Sociales de l’Université Général Lansana Conté de Sonfonia – Conakry (ED-UGLC-SC) dirigée par le Pr Gando, a animé un séminaire méthodologique sur l’analyse qualitative appliquée à l’informatique. Ce séminaire qui s’inscrit dans le cadre du plan stratégique quinquennal 2019-2023 du Centre vise à renforcer les capacités scientifiques des 39 doctorants venus des universités de Sonfonia, Zérékoré, Labé, Kindia. Il a permis aux doctorants de se familiariser avec les approches méthodologiques, épistémologiques et techniques de l’analyse qualitative appliquée.

 

LE CIRD DEROULE SON PLAN STRATEGIQUE QUINQUENNAL EN DIRECTION DES ECOLES DOCTORALES

Ce lundi 25 novembre jusqu’au 29 courant, le CIRD en partenariat avec l’Ecole Doctorale Sciences Sociales et Humaines de l’Université Général Lansana Conté de Sonfonia – Conakry (ED-UGLC/S-C) déroule son plan stratégique quinquennal 2019-2023 en direction des écoles doctorales. Il s’agit pour le CIRD de renforcer les capacités scientifiques des jeunes chercheurs à travers des outils appliqués. 40 étudiants en provenance des universités de Sonfonia, Kindia, Zérékoré, Labé, Dubréka, Kankan prennent part à ce séminaire qui porte sur l’analyse qualitative appliquée à l’informatique. Ce séminaire est animé par M. Abdou Ndao, directeur exécutif du CIRD qui initie ainsi ces étudiants aux méthodologies appliquées pour mieux autonomiser les jeunes chercheurs en matière d’analyse qualitative.